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Cercle des quinze ans

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Alphabet phénicien à l’origine de la grande majorité des alphabets, première forme abstraite dérivée de l’écriture protosinaïtique, pictographique, elle-même dérivée des hiéroglyphes égyptiens.
Pièce du roi Héraios (1 à 30), Empire kouchan, s’installant dans les Royaumes indo-grecs.
Diplôme de Dagobert I^er (628).
Manuscrit du IX^e siècle en minuscule caroline, probablement l’écriture la plus utilisée aujourd’hui.
Texte en écriture syriaque dans un texte du XI^e siècle.
Caractères (ou plutôt mots) mobiles d’imprimerie en ancienne écriture ouïgoure du XII^e ou XIII^e siècle (aujourd’hui remplacée par l’écriture arabe), dérivée du syriaque.
Billet de banque de la dynastie Yuan, mongole, imprimé en 1287, en caractères han et écriture phagpa, partie de l’écriture tibétaine, adaptée à la langue mongole et aux caractères carrés chinois han.
Étymologie des chiffres indiens (dits arabes en France).
Lettre du khan mongol de Perse Arghoun au roi de France Philippe le Bel en 1289, écriture mongole manuscrite dérivée du ouïgour ancien, et sceaux imprimés en chinois (probablement premiers textes imprimés arrivés en France).
Sceau du roi du royaume de Ryūkyū (1429–1879, aujourd’hui, préfecture d’Okinawa au Japon), en écriture mandchoue (dérivée du mongol) et han sigillaire.
Pancarte à la résidence de montagne de Chengde (construite entre 1703 et 1792), en écritures : mongole, arabe du ouïgour, han, tibétaine et mandchoue sur la « porte de la Beauté et de la Justice ».
Pancarte en mongol, tibétain, han et mandchou, temple tibétain Yonghe de Pékin (1722).
Ho Chi Minh : « Contenu de l’héroïsme révolutionnaire », avril 1966. Mêlant écriture latine et han.
10 langues.