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D’ailleurs, tout son être sentait l’eau de Cologne. Son manteau, ses chaussures, son fixe-moustache, ses gants et même ses écrits, son carnet dans lequel il conservait d’anciens portraits de femmes.— (Dezső Kosztolányi, Le Colonel blanc (1912), traduit du hongrois par Laurent Goeb, dans le recueil Le Trompettiste tchèque, 2015, page 82)