macrobiotique

Français[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Mot dérivé de biotique, avec le préfixe macro- : « [qui favorise une] longue vie » → voir macrobe.

Notion introduite en France vers 1920 par Georges Ohsawa. Toutefois dans le sens original, on trouve le nom commun macrobiotique dans l'édition en 7 volumes du dictionnaire Larousse de 1904.

Adjectif [modifier le wikicode]

	Singulier	Pluriel
Masculin et féminin	macrobiotique	macrobiotiques
Masculin et féminin	\ma.kʁo.bjo.tik\

macrobiotique \ma.kʁo.bjo.tik\

Relatif à une alimentation frugale et saine.
- Comment se pose la question du végétarisme, du crudivorisme et de la macrobiotique pour les informateurs de la deuxième génération, c'est- à-dire ceux qui ont suivi un régime non carné ou macrobiotique pendant leur enfance ou dès leur naissance, […]. — (Laurence Ossipow, La Cuisine du corps et de l'âme: Approche ethnologique du végétarisme, du crudivorisme et de la macrobiotique en Suisse, Neuchâtel: éditions de l'Institut d’Ethnologie & Paris : éd. de la maison des Sciences de l'Homme, 1997, page 287)

Traductions[modifier le wikicode]

Anglais : macrobiotic (en)
Galicien : macrobiótico (gl)
Italien : macrobiotico (it), macrobiotica (it)
Occitan : macrobiotic (oc)

Nom commun [modifier le wikicode]

Singulier	Pluriel
macrobiotique	macrobiotiques
\ma.kʁo.bjo.tik\

macrobiotique \ma.kʁo.bjo.tik\ féminin

Art de prolonger la vie en respectant des règles d'hygiène et de diététique strictes.
Alimentation fondée sur un régime frugal à base de céréales destinée à garantir une longue vie.
- Comment se pose la question du végétarisme, du crudivorisme et de la macrobiotique pour les informateurs de la deuxième génération, c'est-à-dire ceux qui ont suivi un régime non carné ou macrobiotique pendant leur enfance ou dès leur naissance, […]. — (Laurence Ossipow, La Cuisine du corps et de l'âme: Approche ethnologique du végétarisme, du crudivorisme et de la macrobiotique en Suisse, Neuchâtel: éditions de l'Institut d’Ethnologie & Paris : éd. de la maison des Sciences de l'Homme, 1997, page 287)