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Si les biens dʼune chapellenie devaient, en principe, lors de sa fondation, permettre à un prêtre dʼen vivre, ceux dʼune prestimonie pouvaient parfois être aussi importants, et non sans raison.— (Charles Berthelot Du Chesnay, Institut armoricain de recherches historiques, économiques et humaines (Université de Haute Bretagne), Les prêtres séculiers en Haute-Bretagne au XVIIIe siècle, 1984)