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(1755) De l'islandais æður par l'intermédiaire du latin scientifique.

Singulier	Pluriel
eider	eiders
\ɛ.dɛʁ\

eider \ɛ.dɛʁ\ masculin

(Ornithologie) Anatidé, aux formes massives, dont une espèce fournit l’édredon.
- Plus petit que l’eider à duvet, l’eider à lunettes est immédiatement identifiable à l’emplumage de son bec jusqu’aux narines et à ses lunettes visibles en toutes saisons.
(Sens restreint) Eider à duvet.
- Voici la fameuse oie à duvet ou canard Eider, sous l’édredon de laquelle dorment nos petites maîtresses. — (Honoré de Balzac, La Peau de chagrin, 1831)
- Ces îlots, constitués de basalte, servent de repaires à des myriades d’eiders qui nichent dans les rochers. Ces oiseaux donnent le précieux duvet connu sous le nom d’édredon, et sont la principale ressource des habitants : la loi défend de les tuer. — (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla, Paris : E. Plon & Cie, 1883, page 57)

Conventions internationales : Somateria (wikispecies), Polysticta (wikispecies)
Allemand : Eeder (de) masculin, Eiderente (de) féminin
Anglais : eider (en)
Espagnol : eider (es)
Finnois : haahka (fi)
Inuktitut : ᒥᑎᖅ (iu) mitiq
Italien : edredone (it) masculin
Néerlandais : eidereend (nl)
Polonais : edredon (pl)
Roumain : eider (ro) masculin
Same du Nord : hávda (*)

Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (eider)
Christian Meyer, éditeur scientifique, Dictionnaire des sciences animales, Cirad, Montpellier, France, 2024, article eiders

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-:{{date|1755}} De l'{{étyl|is|fr|æður}} par l'intermédiaire du latin scientifique.
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 # {{term|sens restreint}} [[eider à duvet#fr|Eider à duvet]].
 #* ''Voici la fameuse oie à duvet ou canard '''Eider''', sous l’édredon de laquelle dorment nos petites maîtresses.'' {{source|{{Citation/Honoré de Balzac/La Peau de chagrin/1855}}}}
-#* ''Ces îlots, constitués de basalte, servent de repaires à des myriades d’'''eiders''' qui nichent dans les rochers. Ces oiseaux donnent le précieux duvet connu sous le nom d’édredon, et sont la principale ressource des habitants : la loi défend de les tuer.'' {{source|Jules Leclercq, ''La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla'', Paris : E. Plon & Cie, 1883, p.57}}
+#* ''Ces îlots, constitués de basalte, servent de repaires à des myriades d’'''eiders''' qui nichent dans les rochers. Ces oiseaux donnent le précieux duvet connu sous le nom d’édredon, et sont la principale ressource des habitants : la loi défend de les tuer.'' {{source|Jules Leclercq, ''La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla'', Paris : E. Plon & Cie, 1883, page 57}}
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