« quakeresse » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
Aucun résumé des modifications |
Traductions : +anglais : Quakeress (assisté) |
||
Ligne 17 : | Ligne 17 : | ||
==== {{S|traductions}} ==== |
==== {{S|traductions}} ==== |
||
{{trad-début}} |
{{trad-début}} |
||
* {{T|en}} : {{trad+|en|Quakeress}} |
|||
{{ébauche-trad}} |
{{ébauche-trad}} |
||
{{trad-fin}} |
{{trad-fin}} |
Version du 22 septembre 2020 à 10:51
:
Français
Étymologie
Nom commun
Singulier | Pluriel |
---|---|
quakeresse | quakeresses |
\kwɛ.k(ə).ʁɛs\ ou \kwa.k(ə).ʁɛs\ ou \kwe.k(ə).ʁɛs\ |
quakeresse \kwɛ.k(ə).ʁɛs\ ou \kwa.k(ə).ʁɛs\ ou \kwe.k(ə).ʁɛs\ féminin (pour un homme, on dit : quaker)Code de langue manquant
- Femme quaker.
- Elle était alors retirée à la Haye, où elle vit les amis, car c’est ainsi qu’on appelait alors les quakers en Hollande ; elle eut plusieurs conférences avec eux ; ils prêchèrent souvent chez elle, et s’ils ne firent pas d’elle une parfaite quakeresse, ils avouèrent au moins qu’elle n’était pas loin du royaume des cieux. — (Voltaire, Lettres philosophiques, lettre nº 4)
- La quakeresse répéta en détail la conversation qu'elle avait entendue la veille. Sa mémoire était excellente et elle put redire mot pour mot les propos des officiers britanniques. — (Kurt Singer & Jane Sherrod, Les espions qui ont changé l’histoire, traduit de l'anglais par Bruno Bax, Paris : Presses de la Cité, 1961, p. 36)
Variantes
- Quakeresse (Moins courant)
Traductions
Forme d’adjectif
Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin | quaker \kwɛ.kœʁ\ ou \kwa.kɛr\ ou \kwe.kœʁ\
|
quakers \kwɛ.kœʁ\ ou \kwa.kɛr\ ou \kwe.kœʁ\ |
Féminin | quakeresse \kwɛ.k(ə).ʁɛs\ ou \kwa.k(ə).ʁɛs\ ou \kwe.k(ə).ʁɛs\ |
quakeresses \kwɛ.k(ə).ʁɛs\ ou \kwa.k(ə).ʁɛs\ ou \kwe.k(ə).ʁɛs\ |
quakeresse \kwɛ.k(ə).ʁɛs\ ou \kwa.k(ə).ʁɛs\ ou \kwe.k(ə).ʁɛs\
- Féminin singulier de quaker.
Prononciation
- La prononciation \kwɛ.k(ə).ʁɛs\ rime avec les mots qui finissent en \ɛs\.
- France (Paris) : écouter « quakeresse [kwɛ.kʁɛs] »
Références
- Maurice Grevisse, André Goosse, Le Bon usage, De Boeck Supérieur, 2016, page 708