Utilisateur:Tambuccoriel/liste Darmo

Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire.
  • Dire : On disoit d’elle : Personne au monde ne sait mieux servir ses amis, ce qui signifie littéralement, personne au monde ne sait mieux in­triguer.
  • Être :
    1. L’ascendant de Célinte sur Mirval étoit extrême.
    2. Mirval s’affligeoit et s’étonnoit d’avoir été si peu aimable, dans la circonstance de sa vie où il se seroit trouvé le plus heureux de le paroître.
  • Lire : Mirval jusqu’alors, vivement applaudi par elle, lui lisoit avec plaisir toutes ses productions.
  • Avoir :
    1. Il avoit cependant assez de goût pour sentir qu’on auroit pu choisir un meilleur juge, mais il prenoit la vanité satisfaite pour de la confiance.
    2. Aussi ne l’aurois-je pas fait, si Delmas étoit un homme esti­mable.
  • Prendre : Il avoit cependant assez de goût pour sentir qu’on auroit pu choisir un meilleur juge, mais il prenoit la vanité satisfaite pour de la confiance.
  • Savoir : Mirval, qui n’étoit pas accoutumé à un accueil aussi froid, ne savoit que penser.
  • Remettre : Mirval déconcerté remettoit son manuscrit dans sa poche.
  • Sembler : Il me sembloit qu’il suffisoit de connoître les ouvrages.
  • Suffire : Il me sembloit qu’il suffisoit de connoître les ouvrages.
  • Être : Ces mots atterrèrent Mirval ; car ce M. de G*** étoit un ancien amant de Célinte, et l’homme auquel il devoit sa place.
  • Devoir : Ces mots atterrèrent Mirval ; car ce M. de G*** étoit un ancien amant de Célinte, et l’homme auquel il devoit sa place.
  • Pouvoir : Célinte se radoucis­sant l’assura qu’il y avoit dans l’ouvrage vingt morceaux de cette force-là, chose dont Mirval pouvoit convenir sans trahir la vérité.
  • Penser : Mais, madame, répétoit Mirval, me demander ce changement de noms, c’est me proposer de dire aujourd’hui tout le contraire de ce que je pensois hier, et de ce que je pense encore maintenant, en grande partie, sur l’ouvrage de Delmas.
  • Falloir : On convint qu’il falloit faire ce changement et quel­ques autres
  • Croire : En montant en voiture, Busseuil lui demanda, en riant s’il croyoit toujours qu’il fût si facile d’écrire un journal avec une parfaite impartialité, quand on est jeune, que l’on est obligé de soutenir un système, de ménager un parti et d’accorder tous les intérêts de société, d’amitié, de reconnoissance, d’amour-propre et d’ambition ?
  • Faire : Il ne faisoit pas une action si contraire à son caractère, sans honte et sans re­mords.
  • Travailler : Mirval se trouva, tout d’un coup, aussi consommé dans son art que pouvoient l’être ceux qui travailloient depuis dix ans.
  • Savoir : Elle n’est pas faite pour la jeunesse ; les coeurs purs et sans expérience ne sauroient connoître ou supposer cet alliage bizarre de mauvaises actions et d’incli­nations vertueuses.
  • Connaître :
    1. Elle n’est pas faite pour la jeunesse ; les coeurs purs et sans expérience ne sauroient connoître ou supposer cet alliage bizarre de mauvaises actions et d’incli­nations vertueuses.
    2. Volontiers, répondit-il, c’est une chose que je puis faire sans remords, je connois cet ouvrage, je suis bien loin de l’admirer.
  • Se décider : C’étoit comme on se résigne au malheur, que l’âme de Clainville se décidoit au mépris.
  • Déterminer : il ne s’y déterminoit qu’à la dernière extrémité, et toujours il conservoit quelque espérance.
  • Conserver : il ne s’y déterminoit qu’à la dernière extrémité, et toujours il conservoit quelque espérance.
  • Préserver : Douces pensées qui le préservoient des tourmens et des émotions douloureuses du ressentiment et de la haine.
  • Appeler : Mirval ap­prit bientôt, que cette jeune beauté, qu’on appeloit Célestine , nouvellement arrivée de province, étoit une orpheline, nièce de madame de Saint-Firmin qui devoit la garder chez elle tout l’hiver.
  • Jouir : Com­bien Mirval , dans ce moment , envia Clainville qui connoissoit madame de Saint-Firmin et sa charmante nièce , et qui jouissoit d’une préférence si flatteuse.
  • S’affliger : Mirval s’affligeoit et s’étonnoit d’avoir été si peu aimable, dans la circonstance de sa vie où il se seroit trouvé le plus heureux de le paroître.
  • S'étonner : Mirval s’affligeoit et s’étonnoit d’avoir été si peu aimable, dans la circonstance de sa vie où il se seroit trouvé le plus heureux de le paroître.
  • Paroître : Mirval s’affligeoit et s’étonnoit d’avoir été si peu aimable, dans la circonstance de sa vie où il se seroit trouvé le plus heureux de le paroître.
  • Imposer : Clainville fit un éloge touchant de madame de Saint-Firmin, et il finit par proposer à Mirval de le mener chez elle, Mirval fut tenté de lui sauter au cou, mais la sagesse de Clainville lui en imposoit ; il se contenta de lui serrer affectueusement la main, et il fut convenu que Mirval seroit présenté chez madame de Saint-Firmin, le jour suivant.
  • Avancer : À ces mots, Mirval se mit à con­ter tout le mal qu’on lui avoit dit de Del­mas, et même il se permit de l’exagérer, d’ajouter qu’il étoit parfaitement sûr de tout ce qu’il avançoit.