aigue
Apparence
Forme de verbe
[modifier le wikicode]Voir la conjugaison du verbe aiguer | ||
---|---|---|
Indicatif | Présent | j’aigue |
il/elle/on aigue | ||
Subjonctif | Présent | que j’aigue |
qu’il/elle/on aigue | ||
Impératif | Présent | (2e personne du singulier) aigue |
aigue \ɛɡ\
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de aiguer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de aiguer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent de aiguer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent de aiguer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de aiguer.
Anagrammes
[modifier le wikicode]Étymologie
[modifier le wikicode]- Du latin aqua (« eau »).
Nom commun
[modifier le wikicode]aigue *\Prononciation ?\ féminin
- Eau.
L’aigue dou cuer lui est es els montée
— (Cycle de Roncisvals (xiiie siècle), mis en lumière par Jean-Louis Bourdillon, Treuttel et Wurtz / J. Techner, Paris, 1841, page 48. → lire en ligne)- ≈ L’eau du cœur lui est montée aux yeux
Variantes
[modifier le wikicode]Dérivés dans d’autres langues
[modifier le wikicode]Voir aussi
[modifier le wikicode]- Aïgue sur l’encyclopédie Wikipédia
, pour les nombreux toponymes (et leurs éventuels gentilés) et hydronymes étymologiquement apparentés.
Références
[modifier le wikicode]- Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage
Étymologie
[modifier le wikicode]- Du latin aqua (« eau »).
Nom commun
[modifier le wikicode]aigue \ɛg\ féminin
- Eau.
- L’aigue dé la Leire afflue déplètement.
- L'eau de la Loire coule rapidement.
- L’aigue dé la Leire afflue déplètement.
Variantes
[modifier le wikicode]Références
[modifier le wikicode]- Maurice Davau, Le vieux parler tourangeau : Sa phonétique, ses mots et locutions, sa grammaire, C.L.D. Normand et Cie, 1 janvier 1979, 505 pages, page 302
- Walther von Wartburg, Französisches Etymologisches Wörterbuch. Eine darstellung des galloromanischen sprachschatzes, Bonn, 1928