chuintante
Français[modifier le wikicode]
Étymologie[modifier le wikicode]
Nom commun [modifier le wikicode]
Singulier | Pluriel |
---|---|
chuintante | chuintantes |
\ʃɥɛ̃.tɑ̃t\ |
chuintante \ʃɥɛ̃.tɑ̃t\ féminin
- (Phonétique) Consonne fricative postalvéolaire sourde.
- L'affinité des chuintantes j ch, ainsi nommées de l'espèce de son qu'elles rendent, est saillante : une forte pulsation d'air pour ch et une plus modérée pour j, d'où résulte, à l'égard de celle-ci, un plus faible et plus doux sifflement, en constituent la dissemblance. — (M. Patey, Sténographie des sténographies, Paris : chez Brunot-Labbé, 1832, p. 33)
- On constate que c’est une sourde parce que les cordes vocales ne vibrent pas et que c’est une chuintante, à cause du point d’articulation, de la manière dont est placée la langue, dont sont placées les lèvres. — (Institut national de recherche et de documentation pédagogiques. Service des études et recherches pédagogiques, Langage: langue parlée, langue écrite et créativité à l’école maternelle, unité de recherche pré-élémentaire, 1974)
- Incompatibilités orthographiques : après les chuintantes, le russe ne respecte pas ses règles de notation : en effet, certains signes voyelles de première série s'emploient après les chuintantes molles et certains signes voyelles de deuxième série s'emploient après les chuintantes dures. — (Anne Boulanger, Grammaire du russe : morphologie et syntaxe, Éditions Ophrys, 3e éd. revue & augmentée, 2000, p. 4)
Forme d’adjectif [modifier le wikicode]
Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin | chuintant \ʃɥɛ̃.tɑ̃\
|
chuintants \ʃɥɛ̃.tɑ̃\ |
Féminin | chuintante \ʃɥɛ̃.tɑ̃t\ |
chuintantes \ʃɥɛ̃.tɑ̃t\ |
chuintante \ʃɥɛ̃.tɑ̃t\
- Féminin singulier de chuintant.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
Prononciation[modifier le wikicode]
- La prononciation \ʃɥɛ̃.tɑ̃t\ rime avec les mots qui finissent en \ɑ̃t\.
- France (Lyon) : écouter « chuintante [Prononciation ?] »
Références[modifier le wikicode]
- « chuintante », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage