commissaire-priseur

Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire.

Français[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

(Date à préciser)  Composé de commissaire (« agent de l’État ») et de priseur (« qui fixe un prix »).

Nom commun [modifier le wikicode]

Singulier Pluriel
commissaire-priseur commissaires-priseurs
\kɔ.mi.sɛʁ.pʁi.zœʁ\

commissaire-priseur \kɔ.mi.sɛʁ.pʁi.zœʁ\ masculin (pour une femme, on dit : commissaire-priseuse)Note d’usage : L’équivalent féminin commissaire-priseuse, est recommandé au Québec [1]. En France, on garde le terme masculin commissaire-priseur pour une femme.

  1. Officier ministériel titulaire d'une charge, garant de la régularité des ventes publiques aux enchères.
    • Oh ! me dit le commissaire-priseur, tout cela était bien rococo. » Mot épouvantable qui flétrissait toutes les religions de mon enfance. — (Honoré de Balzac, La Peau de chagrin, 1831)
    • La première Société de commissaires-priseurs spécialisés dans l'art, la Stockholms Auktionsverk, a été créée en Suède le 27 février 1647.
    • La société d’exercice libéral à responsabilité limitée « SELARL Boissinot, commissaire-priseur judiciaire », constituée pour l’exercice de la profession de commissaire-priseur judiciaire, est nommée commissaire-priseuse judiciaire à la résidence de Poitiers (86), en remplacement de Me Pierre Segeron. Me Bénédicte Boissinot est nommée commissaire-priseuse judiciaire associée. — (Nomination de Me Bénédicte Boissinot, commissaire-priseuse judiciaire à Poitiers, commissaires-priseurs.com, 18 décembre 2014)

Dérivés[modifier le wikicode]

Traductions[modifier le wikicode]

Prononciation[modifier le wikicode]

Références[modifier le wikicode]

  • Office québécois de la langue française, commissaire-priseur
  • Voir aussi[modifier le wikicode]