conservable

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Français[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

(XVIIIe siècle)[1] Dérivé de conserver, avec le suffixe -able.

Adjectif [modifier le wikicode]

Singulier Pluriel
conservable conservables
\kɔ̃.sɛʁ.vabl\

conservable \kɔ̃.sɛʁ.vabl\ masculin et féminin identiques

  1. Qui peut être conservé sans perte de qualité, sans altération.
    • Le vin blanc profitera encore de tous les avantages de la fermentation pure, continue de jour et de nuit, à température constante, et par conséquent lui aussi sera conservable, vieillissable et de grande qualité. — (Revue de Viticulture, 1940, vol.92, n°1, page 27)
    • Mono-dose et conservable dans un réfrigérateur classique, la Haute autorité de Santé (HAS) a indiqué dans un rapport publié fin mars conseiller l’utilisation du vaccin américain à La Réunion. — (Vaccin Johnson and Johnson : les caillots sanguins "devraient être ajoutés aux effets secondaires rares", ipreunion.com, 20 avril 2021)
  2. (Médecine) Que l’on peut conserver.
    • Quand la dent est jugée non conservable et sans possibilité de reconstruction prothétique [...], on procède à l’avulsion dentaire ou extraction. — (Laurent Castillo &al., Dents et sinus : rapport de la Société française d’ORL et de chirurgie cervico-faciale, Elsevier Masson, 2017, page 143)
    • En cas de rectum conservable et en l’absence de lésion ano-périnéale sévère, l’AIR [...] doit être privilégiée. — (G. Manceau, Y. Panis, Traitement chirurgical de la maladie de Crohn, dans Post'U FMC-HGE: Paris, du 24 au 27 mars 2011, Springer-Verlag France, Paris, 2011, page 131)

Antonymes[modifier le wikicode]

Dérivés[modifier le wikicode]

Traductions[modifier le wikicode]

Prononciation[modifier le wikicode]

Anagrammes[modifier le wikicode]

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Références[modifier le wikicode]

  1. « il fabrique le Vinaigre rouge & blanc & à l’Estragon, conservable par sa force, & convenable à tous assaisonnements, aux cornichons & autres. » : État ecclésiastique, militaire et civil, de la ville de Cambrai et de la province de Cambrésis, pour l'année 1790, Samuel Berthoud, Cambrai, 1790, pages 82-83.