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Un attrait était de plus que d'habitude à ce bal : la présence des ambassadeurs chinois, présentés à leur arrivée, un par un, et donnant des shakhands à main que veux-tu.— (« Choses & autres », dans La Vie parisienne, dirigée par Marcelin, Paris, n° 6 / 7e année, du 6 février 1869, p. 116)
[…], le dernier lutteur s'avance au pas de tir; il prononce le mot sacramental, vise rapidement, jette son coup... le pigeon est tombé ! hurrah ! des cris retentissent , des larmes coulent, mais les flots du champagne bien davantage. Le triomphateur est entouré, embrassé, soulevé : beaux louis battant-neuf, belle argenterie mate, et les shakhand des hommes, et le sourire des femmes, tout est à lui.— (« Variétés : La Côte d'Azur », dans le Journal de Monaco, n° 1560 du mardi 26 juin 1888, page 3)