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Toutefois, pour des fautes méritant un châtiment exemplaire, le Pacha applique une vieille coutume de jadis, le tatouif. C'est ainsi que, récemment, un marchand de lait convaincu d'avoir trop copieusement arrosé sa marchandise, , fut condamné à être promené à travers les rues, juché sur un âne le visage tourné vers la queue, et obligé de crier : « Je suis un tel qui ai mis de l'eau dans mon lait. »— (Maurice de Périgny, Au Maroc : Fès, la capitale du Nord, Paris : chez Pierre Roger & Cie, 1917, p. 23)
Le Mohtasib, en effet, surveillait ces métiers pour les poids et mesures, punissant le fraudeur du châtiment dutatouif. — (Revue du Monde musulman, vol. 58, Paris : R.R. Kneider, 1924, p. 223)