Lave ta tignasse ou je te gifle ; fais-toi des locks, des tresses, rase-toi le crâne ; donne ta chemise ; cesse d’être ma honte, le soir, quand les voisines viennent, avec leur air de pimbêches, Fatoumata surtout, et qu’elles demandent : et ton frère ? où donc est-il, notre chéri ? où est-il, petit Abou ?— (Bernard-Marie Koltès, Tabataba, 1986, suivant Roberto Zucco, page 100)