C’était sur elles que venaient de se poser les doigts de la jeune femme, et voilà que des sons mélodieux avaient retenti, que n’avait jamais égalés, pour l’oreille du chien-loup, le murmure des vents dans les feuillées, ni l’harmonie de l’eau des cascades et des rapides, ni les trilles d’oiseaux à la saison printanière.— (James Oliver Curwood, Kazan, 1914, traduit de l’anglais par P. Gruyer et L. Postif, Hachette, 1937, pages 9-10)