encor
Français[modifier le wikicode]
Adverbe [modifier le wikicode]
encor \ɑ̃.kɔʁ\
- (Poétique) Variante de encore.
Il est, seigneur Arnolphe, encor plus gai que nous,
— (Molière, L’École des femmes)
Et j’avais de sa part une lettre pour vous ;
Mais depuis, par une autre, il m’apprend sa venue,
Et la raison encor ne m’en est pas connue.J’suis snob… Encor plus snob que tout à l’heure
— (Boris Vian, J’suis snob, 1955)
Et quand je serai mort
J’veux un suaire de chez Dior !Pour intriguer les songes d’or ?...
— (Tristan Corbière, « Insomnie », Les Amours jaunes, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1970, p. 733)
N’es-tu pas l’amour dans l’espace,
Souffle de Messaline lasse
Mais pas rassasiée encor !
Prononciation[modifier le wikicode]
- Lyon (France) : écouter « encor [Prononciation ?] »
Anagrammes[modifier le wikicode]
→ Modifier la liste d’anagrammes
Références[modifier le wikicode]
- « encore », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage
Ancien français[modifier le wikicode]
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encor \Prononciation ?\
- Variante de oncore.
Mais ne sai pas encor certainement
— (Le Châtelain de Coucy)
Quel guerredon ele me voudra rendre.