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Mais concluant je dis et maintiens, qu’il n’y a tel torchecul que d’un oison bien duveté, pourvu qu’on lui tienne la tête entre les jambes. Et m’en croyez sur mon honneur. Car vous sentez au trou du cul une volupté mirifique, tant par la douceur d’icelui duvet, que par la chaleur tempérée de l’oison, laquelle facilement est communiquée au boyau culier et autres intestins, jusqu’à venir à la région du cœur et du cerveau.— (François Rabelais, Gargantua, 1534)
— Allez on met les adjas. Donne ta paluche. — Ma quoi ? — Tes crayons. Tes torcheculs. Oh, ta pogne, quoi.— (Boris Vian, Le Chasseur français, 1955. Le Livre de Poche, 2008, page 210)
Mais, concluent, je dys et mantiens qu’il n’y a tel torchecul que d’un oyzon bien dumeté, pourveu qu’on luy tienne la teste entre les jambes.— (François Rabelais, Gargantua, 1535)