reine-claude
Français[modifier le wikicode]
Étymologie[modifier le wikicode]
- (Date à préciser) Nom donné à cette variété de prune par le naturaliste français Pierre Belon[1] en l’honneur de la reine Claude de France, femme de François Ier.
Nom commun [modifier le wikicode]
Singulier | Pluriel |
---|---|
reine-claude | reines-claudes |
\ʁɛn.klod\ |
reine-claude \ʁɛn.klod\ féminin
- Espèce de prune d’un vert tirant sur le jaune.
Je me réfugiai derrière ma grand-mère ; elle criait, elle riait même, elle que je ne voyais jamais sourire, et, l’air avenant, toute persuasion, toute bonne volonté éperdue, tendait une poignée de madeleines ou de reines-claudes.
— (Marcel Arland, Terre natale, 1938, réédition Le Livre de Poche, pages 161-162)Elle me tendait une soucoupe pleine de reines-claudes, échaudait la théière.
— (Sidonie-Gabrielle Colette, Le Képi, Fayard, 1943 ; édition Le Livre de Poche, 1968, page 53)
Dérivés[modifier le wikicode]
Traductions[modifier le wikicode]
- Anglais : greengage (en)
- Arabe : شَاهْلُوج (ar)
- Corse : bombuccone (co) masculin, rangulo (co) masculin
- Limbourgeois : ringelaot (li)
- Néerlandais : reine-claude (nl), groene pruim (nl)
- Occitan : renaglòda (oc) féminin
- Picard : rainne-gleude (*)
- Polonais : renkloda (pl)
- Tchaghataï : تنسكل (*) (tänäskül)
Prononciation[modifier le wikicode]
- France (Lyon) : écouter « reine-claude [Prononciation ?] »
Voir aussi[modifier le wikicode]
- reine-claude sur l’encyclopédie Wikipédia
Références[modifier le wikicode]
- Tout ou partie de cet article a été extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (reine-claude), mais l’article a pu être modifié depuis.
Néerlandais[modifier le wikicode]
Étymologie[modifier le wikicode]
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Nom commun [modifier le wikicode]
reine-claude
Synonymes[modifier le wikicode]
- ↑ Vassort, Jean. « 8. Jardins botaniques, botanique des jardins », Les jardins de France. Une histoire du Moyen Âge à nos jours, sous la direction de Vassort Jean. Perrin, 2020, pp. 257-287.