(nom propre 1)(XVIIIe siècle) Nom d'un soldat sarrasin qui épouse Angélique dans le Roland furieux de L’Arioste de 1516. Potentiellement du portugaismedo, peur.
On peut remonter de l'individu au genre suprême, ou descendre du genre suprême à l'individu, en passant par tous les dégrés différenciels intermédiaires : Médor, chien, animal, substance, être, voilà la gradation ascendante ;— (Jacques-Philippe-Augustin Douchet et Nicolas Beauzée, article « générique » de l’Encyclopédie, ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, tome 7, 1757, page 575.)
Aimable chien, fidèle et bon Médor, Tu restes seul à ta jeune maîtresse ! On m’abandonne… et toi, tu veux encor Me consoler par ta tendresse.— (Marceline Desbordes-Valmore, « Médor », Élégies, Marie et romances, 1819.)