PK

Voir aussi : .pk, pK, pk

Conventions internationales[modifier le wikicode]

Symbole [modifier le wikicode]

(Automobile) Signe distinctif en trafic international des véhicules automobiles immatriculés au Pakistan, prescrit dans le cadre de la Convention sur la circulation routière de Genève de 1949 et de la Convention sur la signalisation routière de Vienne de 1968. Auparavant le signe était PAK.
(Géographie) Code ISO 3166-1 (alpha-2) du Pakistan.
(Métrologie, Physique) (Extrêmement rare) Symbole du pétakelvin, unité de mesure de température du Système international (SI), valant 10¹⁵ kelvins.

Vocabulaire apparenté par le sens[modifier le wikicode]

Symboles des unités de mesure de température du Système international
10⁻³⁰	10⁻²⁷	10⁻²⁴	10⁻²¹	10⁻¹⁸	10⁻¹⁵	10⁻¹²	10⁻⁹	10⁻⁶	10⁻³	10⁻²	10⁻¹	1	10¹	10²	10³	10⁶	10⁹	10¹²	10¹⁵	10¹⁸	10²¹	10²⁴	10²⁷	10³⁰
qK	rK	yK	zK	aK	fK	pK	nK	μK	mK	cK	dK	K	daK	hK	kK	MK	GK	TK	PK	EK	ZK	YK	RK	QK
← Unités inférieures													Unités supérieures →

Voir aussi[modifier le wikicode]

PK sur l’encyclopédie Wikipédia

Références[modifier le wikicode]

Nations Unies, Distinguishing Signs Used on Vehicles in International Traffic, 15 février 2007

Français[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

(Nom 1) Initiales de protéine-kinase.

(Nom 2) Initiales des mots allemands Propaganda Kompanien.

Nom commun 1 [modifier le wikicode]

Invariable
PK \pe.ka\

PK \pe.ka\ féminin

(Biochimie) Protéine-kinase.

Traductions[modifier le wikicode]

Anglais : protein-kinase (en), PK (en)

Références[modifier le wikicode]

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Nom commun 2[modifier le wikicode]

Invariable
PK \pe.ka\

PK \pe.ka\ féminin

Unité attachée aux armées allemandes pendant la Seconde Guerre mondiale, chargée de la propagande nazie.
- Mais j’avais déjà vu des films composés à partir d’images d’archives, par exemple Le Temps du ghetto, de Frédéric Rossif, qui m’avait heurté car il ne citait pas ses sources, ne disait rien sur la provenance des documents qu’il utilisait, tournés pour beaucoup par les PK — Propaganda Kompanien, les Compagnies de propagande de la Wehrmacht —, filmés au ghetto de Varsovie pour faire savoir au monde, et à l’Allemagne, combien la vie y était belle : les « metteurs en scène » des PK organisaient de fausses séances de cabaret, avec danses, flonflons et maquillage outrancier des Juives choisies pour cette simulation de la fête. — (Claude Lanzmann, Le Lièvre de Patagonie, Gallimard, 2009, chapitre XVIII)

Voir aussi[modifier le wikicode]

Compagnie de propagande sur l’encyclopédie Wikipédia

Anglais[modifier le wikicode]

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