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Pandion

Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire.
Voir aussi : pandion

Conventions internationales[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

(1809) Du latin Pandion (« rossignol »), mot forgé par Jules-César Savigny.

Nom scientifique [modifier le wikicode]

Pandion

  1. (Ornithologie) Balbuzard.

Voir aussi[modifier le wikicode]

Français[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

(Siècle à préciser) Du latin Pandion.

Nom propre [modifier le wikicode]

Pandion \pɑ̃.djɔ̃\ masculin

  1. (Antiquité) Roi mythique d’Athènes.

Traductions[modifier le wikicode]

Anagrammes[modifier le wikicode]

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Voir aussi[modifier le wikicode]

  • Pandion sur l’encyclopédie Wikipédia

Latin[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Du grec ancien Πανδίων, Pandíôn.

Nom propre [modifier le wikicode]

Cas Singulier
Nominatif Pandion
Vocatif Pandion
Accusatif Pandionem
Génitif Pandionis
Datif Pandionī
Ablatif Pandionĕ

Pandion \Prononciation ?\ masculin

  1. (Mythologie) Pandion, fils d’Érechthée, père de Progné et de Philomèle, changées, l’une en hirondelle, l’autre en rossignol.
    • Pandionis populus, le peuple de Pandion, les Athéniens.
    • nunc sequitur nudo genitas Pandione ferro.
      corpora Cecropidum pennis pendere putares:
      pendebant pennis. quarum petit altera silvas,
      altera tecta subit.
      — (Ovide, Metamorphoses)
      l’épée nue à la main, il poursuit les filles de Pandion. On eût dit que, portées sur des ailes, elles se balançaient dans les airs : elles avaient des ailes en effet. L’une prend son essor vers les forêts, l’autre voltige sous nos toits. — (traduction)
    1. (Poétique) (Ornithologie) Rossignol.
  2. Pandion, fils de Jupiter et de la Lune.
  3. Roi en Inde, au temps d’Auguste.
    • alius utilior portus gentis Neacyndon, qui vocatur Becare. ibi regnabat Pandion, longe ab emporio in mediterraneo distante oppido quod vocatur Modura. regio autem, ex qua piper monoxylis lintribus Becaren convehunt, vocatur Cottonara. quae omnia gentium portuumve aut oppidorum nomina apud neminem priorum reperiuntur, quo apparet mutari locorum status. — (Pline l’Ancien, Naturalis Historia)
      Un port plus favorable est celui de la nation des Nelcanidiens, appelé Barace : là règne Pandion, dans une ville méditerranée éloignée du marché, et appelée Modura. Le pays d’où l’on apporte le poivre à Barace, sur des chaloupes faites d’un seul arbre, se nomme Cottonara. Tous ces noms de nations, de ports ou de villes, ne se trouvent chez aucun des anciens auteurs ; d’où il résulte que l’état des lieux change. — (traduction)

Dérivés[modifier le wikicode]

Références[modifier le wikicode]