Cette entrée est considérée comme une ébauche à compléter en français. Si vous possédez quelques connaissances sur le sujet, vous pouvez les partager en modifiant dès à présent cette page (en cliquant sur le lien « modifier le wikicode »).
Il lisait des livres de philosophie effarants d’ennui, ou des journaux libertins dont il décalquait et coloriait les dessins aux crayolors ».— (Henri Troyat, Le mort saisit le vif, 1942, réédition Le Livre de Poche, page 12)