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perroquette

Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire.

Français[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

(Date à préciser) Dérivé de perroquet, avec le suffixe -ette.

Nom commun [modifier le wikicode]

Singulier Pluriel
perroquette perroquettes
\pɛ.ʁɔ.kɛt\

perroquette \pɛ.ʁɔ.kɛt\ féminin

  1. (Ornithologie) (Rare) Perroquet femelle.
    • J’ai entendu dire, affirme un chasseur, qu’il arrive parfois qu’un hibou puisse féconder les œufs d’une « perroquette »… — (Maurice Saint-Amour, Histoires conjugales, 1968, page 13)
    • Voilà, mon père, au couvent, nous avons adopté une perroquette abandonnée par une fille de mauvaise vie, et qui ne sait dire qu’une seule phrase épouvantable : « Je suis une pute, veux-tu t’amuser ? » — (Bernard Guyso, L’Encyclopédie du rire, 2013)
    • Non, oncle Marcelin. Olbius est une… perroquette de Nouvelle-Calédonie. – Une perroquette ? C’t’oiseau au bec qui parle ? — (Philippe Larue, Les aventures rocambolesques du rire, 2015)

Traductions[modifier le wikicode]

Forme de verbe [modifier le wikicode]

Voir la conjugaison du verbe perroqueter
Indicatif Présent je perroquette
il/elle/on perroquette
Imparfait
Passé simple
Futur simple
Subjonctif Présent que je perroquette
qu’il/elle/on perroquette
Imparfait
Impératif Présent (2e personne du singulier)
perroquette

perroquette \pɛ.ʁɔ.kɛt\

  1. Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe perroqueter.
  2. Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe perroqueter.
  3. Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe perroqueter.
  4. Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe perroqueter.
  5. Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe perroqueter.

Prononciation[modifier le wikicode]

Références[modifier le wikicode]

  • Il y en a qui appellent la femelle du Perroquet Perrotte ou Perroquette. — (John Ray, Histoire naturelle éclaircie dans une de ses parties principales, l’ornithologie, qui traite des oiseaux de terre, de mer et de rivière, traduction de François Salerne, 1767, page 76)