Hennezh ne oa ar meurvein evitañ nemet roudoù kredennoù gwadsecʼhedik, ha, broudet gant ar cʼhoant da zisgwriañ an droug, e lakaas distrujañ a-zevri-kaer kement maen-sonn, kement peulvan, kement alez-toet, ha betek an disterañ roud eus sevenadurezh ar meurvein a oa cʼhoazh en e barrez d’ar cʼhoulz-se.— (Herve Gouedard, An Iliz a-enep ar meurvein in Ya !, no 417, 7 juin 2013, page 6.)
Pour lui les mégalithes n’étaient que les traces de croyances sanguinaires, et, poussé par l’envie de déraciner le mal, il fit détruire chaque pierre levée, chaque menhir, chaque allée couverte, jusqu’à la moindre trace de la civilisation des mégalithes encore présente dans sa paroisse à cette époque.
Le plus grand peulvan de Morbihan est là, mais couché par terre et brisé en trois morceaux.— (Gustave Flaubert et Maxime Du Camp, Par les champs et les grèves (Voyage en Bretagne), 1886, Le Livre de poche, page 17, 2012)