mav

Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire.

Conventions internationales[modifier le wikicode]

Symbole [modifier le wikicode]

mav

  1. (Linguistique) Code ISO 639-3 du mawé-sateré.

Voir aussi[modifier le wikicode]

  • mav sur Wikipédia Article sur Wikipédia

Références[modifier le wikicode]

Breton[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Du vieux breton mauu « garçon ».
Du moyen breton mau[1].
À comparer avec le cornique maw « garçon », le gallois meudwy « ermite, anachorète », le vieil irlandais mug « serviteur ».
Dérivation impropre (substantif > adjectif) et glissement de sens de « garçon, jeune homme » à « gaillard ». Issu du celtique *mogu- « garçon, servant », qui remonte à une forme indo-européenne *magʰ-u-, d’où aussi le gotique magus « enfant, jeune homme ».

Adjectif [modifier le wikicode]

mav \ˈmaw\

  1. Gaillard, gai, joyeux.

Nom commun [modifier le wikicode]

mav \ˈmaw\ masculin

  1. (Archaïsme) Garçon, gars,
  2. (Archaïsme) Serviteur, valet.
  3. Gaillard (personne robuste).

Prononciation[modifier le wikicode]

Variantes orthographiques[modifier le wikicode]

Dérivés[modifier le wikicode]

Références[modifier le wikicode]

  1. Jehan LagadeucCatholicon, Tréguier, 1499

Kotava[modifier le wikicode]

Forme de verbe [modifier le wikicode]

Conjugaison Présent Indicatif
Personne Singulier Personne Pluriel
1 1 mat
2 mal 2 mac
3 mar 3 mad
4 mav

mav \mav\

  1. Quatrième personne du pluriel (c’est-à-dire « nous » au sens exclusif : excluant l’interlocuteur) de l’indicatif présent de (« embrasser, étreindre »).

Références[modifier le wikicode]

Tujia du Nord[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.

Nom commun [modifier le wikicode]

mav \ma⁵¹\

  1. Cheval.

Références[modifier le wikicode]

  • Luó ’Ānyuán, Tian Xintao, Tian Jingui et Liao Qiaojing, Tǔjiā rén hé tǔjiā yǔ [Le peuple tujia et sa langue], Mínzú chūbǎnshè, Pékin, 2001