pelamys

Latin[modifier le wikicode]

Du grec ancien πηλαμύς, pelamús.

pelamys \Prononciation ?\ féminin

(Ichtyologie) Jeune thon.
- rhombus, scarus, principalis hodie, solea, sargus, squilla, sarda — ita vocatur pelamys longa ex oceano veniens —, scomber, salpa, sorus, scorpaena, scorpio, salax, sciaena, sciadeus, scolopendra, smyrus, sepia, strombus, solen sive aulos sive donax sive onyx sive dactylus, spondyli, smarides, stellae, spongeae, turdus, inter saxatiles nobilis, thynnis, thranis, quem alii xiphian vocant, thrissa, torpedo, tethea, tritomum pelamydum generis magni, ex quo terna cybia fiunt, veneria, uva, xiphias.— (Pline, Naturalis Historia, XXXII)
  le turbot, le scare, qui tient aujourd'hui le premier rang, la sole, le sarge, la squille, la sarda, nom que l'on donne à une espèce de longue pélamide qui vient de l'Océan, le scombre, la saupe, le spare, la scorpène, le scorpion, le scladée, la sciène, la scolopendre, le smyre, la sèche, le strombe ou conque, le solen ou aulos, ou donax, ou onyx, ou dactyle ; le spondyle, la smaride, l'étoile, l'éponge; le tourd, célèbre parmi les saxatiles; le thon, le thranis, nommé par d'autres xiphias; la thrissa, la torpille, les tèthes, le tritomon, pélamide d'une grande espèce, et dont on fait trois cybium; la conque de Vénus, la grappe, le xiphias. — (traduction)

« pelamys », dans Félix Gaffiot, Dictionnaire latin français, Hachette, 1934 → consulter cet ouvrage
« pelamys », dans Charlton T. Lewis et Charles Short, A Latin Dictionary, Clarendon Press, Oxford, 1879 → consulter cet ouvrage