Céline Thiébault était alors une jeune fille « bienfaisante », une de ces grandes filles brunes qui paraissent vingt ans au lieu de quinze, de celles qu'à la campagne on compare volontiers à une pouliche et que les hommes, vieux et jeunes, détaillent avec une basse envie, un violent désir.— (Jean Rogissart, Hurtebise aux Griottes, 1954, p.19)
Une fille « bienfaisante » (entre guillemets dans le texte original, si je comprends bien), vu l’exemple, ça fait penser soit à fille facile, ou même carrément, à fille publique, fille de joie… --Actarus(Prince d'Euphor)11 septembre 2010 à 12:52 (UTC)[répondre]
Quel autre type de bienfaits peut bien dispenser une jeune fille qu’« on compare volontiers à une pouliche et que les hommes, vieux et jeunes, détaillent avec une basse envie, un violent désir » ? Autrement dit dont on admire les courbes et appas et qu’on mettrait volontiers dans son lit ?… C’est là toute la question.