Schwäche

Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire.

Allemand[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Dérivé de schwach (« faible »), avec le suffixe -e.

Nom commun [modifier le wikicode]

Cas Singulier Pluriel
Nominatif die Schwäche
\ˈʃvɛçə\
die Schwächen
\ˈʃvɛçən\
Accusatif die Schwäche
\ˈʃvɛçə\
die Schwächen
\ˈʃvɛçən\
Génitif der Schwäche
\ˈʃvɛçə\
der Schwächen
\ˈʃvɛçən\
Datif der Schwäche
\ˈʃvɛçə\
den Schwächen
\ˈʃvɛçən\

Schwäche \ˈʃvɛçə\ féminin

  1. Faiblesse.
    • Seit der Annexion der Krim im Jahr 2014, eigentlich seit dem Krieg gegen Georgien 2008, hat die Welt eine Lektion gelernt: Putin legt jede Art der Beschwichtigung – seien es Zugeständnisse oder nur Wegschauen – als Schwäche aus, was ihn zu weiteren Aggressionen verleitet. — (Eric Frey, « Das Putin-Dilemma », dans Der Standard, 4 mars 2022 [texte intégral])
      Depuis l'annexion de la Crimée en 2014, en fait depuis la guerre contre la Géorgie en 2008, le monde a appris une leçon : Poutine interprète toute forme d'apaisement - qu'il s'agisse de concessions ou simplement de détourner le regard - comme une faiblesse, ce qui l'incite à poursuivre ses agressions.
    • Zeigte die chinesische Wirtschaft Zeichen der Schwäche, war klar, dass die Führung das ändern würde. (...) Ob Ausgabenprogramme oder Geldpolitik – es galt die Devise, dass der Staat es noch jedes Mal hingebogen hat. — (Stefan Winter, « Die Wirtschaft braucht einen neuen Blick auf China », dans RedaktionsNetzwerk Deutschland, 15 août 2022 [texte intégral])
      Si l’économie chinoise montrait des signes de faiblesse, il était clair que les dirigeants allaient changer cela. (...) Qu’il s’agisse de programmes de dépenses ou de politique monétaire, la devise était que l’État avait toujours réussi à arranger la situation.
    • Hier muß ich auch an eine junge Trotzkistin denken, die bei einer stürmischen Versammlung auf dem Podium stand und trotz ihrer offensichtlichen Zartheit zu einem Faustschlag ausholte: sie verleugnete ihre weibliche Schwäche, doch sie tat es aus Liebe zu einem Genossen, dem sie ebenbürtig sein wollte. — (Simone de Beauvoir, traduit par Uli Aumüller et Grete Osterwald, Das andere Geschlecht, Rowohlt Verlag, 1992)
      Je me rappelle aussi cette jeune trotskiste debout sur une estrade au milieu d’un meeting houleux et qui s’apprêtait à faire le coup de poing malgré son évidente fragilité ; elle niait sa faiblesse féminine ; mais c’était par amour pour un militant dont elle se voulait l’égale.

Apparentés étymologiques[modifier le wikicode]

Prononciation[modifier le wikicode]