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Outre des rites sans nom et des sacrifices humains, ils continuaient d’étranges rituels héréditaires en vénération d’un diabolique et suprême aîné dit tornasuk ; et de ce culte le professeur Webb avait établi une transcription phonétique scrupuleuse, obtenue d’un très vieil angekok ou prêtre-sorcier, transcrivant dans l’alphabet romain du mieux qu’il pouvait les sons reconnus.— (Howard Phillips ovecraft, L’Appel de Cthulhu (1926), traduit de l’anglais américain par François Bon, 2015, page 35)
