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(Canada)Prééminence de la langue française et de l'héritage français.
Si cette recommandation débouche sur des changements au sein du système scolaire et dans le fonctionnement des écoles, le résultat en serait un de multiculturalisme civique, sinon on pourrait bien retourner à une forme de franco-conformité avec une définition assez étroite d'une francophonie limitée au français standard.— (Wilfrid Denis, « Commission sur l’inclusion dans la communauté fransaskoise : de la minorité à la citoyenneté ». Une réflexion sur le cadre idéologique, Revue du Nouvel-Ontario, Inclusion, identité et vitalité : repenser la participation à la francophonie canadienne, n° 35-36, 2010–2011, p.32.)
Les deux sociétés se rejoignaient d’autant plus que le virage de la CECM dans les années 1970 vers la « franco-conformité », c’est-à-dire que l’enseignement en français était devenu obligatoire pour les Néo-Canadiens, démontre qu’il s’agissait plutôt d’une institution en accord avec l’ensemble des sociétés nord-américaines.— (Jocelyne MurrayCompte-rendu, Historical Studies in Education / Revue d’histoire de l’éducation 29, 1, Spring / printemps 2017, p.120)
En même temps, on doit exiger la protection de tous les droits humains, civils, linguistiques et culturels de toutes les minorités ethnoculturelles du Québec qui se trouvent face à une politique de franco-conformité.— (Yuriy Weretelnyk, Transcription du comité, Assemblée législative de l’Ontario, 1 mars 1991.)