Aïn al-Arab

Français[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.

De l’arabe عين العرب, ʻAin al-ʻArab.

Nom propre [modifier le wikicode]

Aïn al-Arab \aj.n‿a.l‿a.ʁab\

(Toponymie) Ville kurde syrienne située dans le gouvernorat d’Alep.
- Des avions de la coalition ont frappé des positions de l’État islamique, dont les combattants tentent de s’emparer de la ville kurde d’Aïn al-Arab. — (AFP, « Bombardements en Syrie pour stopper l’avancée des jihadistes », Libération.fr, 1 octobre 2014)
- La Turquie a ouvert vendredi sa frontière aux réfugiés syriens qui ont commencé à quitter jeudi le secteur de la localité de Aïn al-Arab (Kobani en langue kurde), encerclée par les combattants du groupe extrémiste sunnite État islamique (EI). — (« 70.000 Kurdes syriens sont passés en Turquie », Le Figaro.fr, 21 septembre 2014)
- Au moins 300 Kurdes de Turquie sont arrivés en Syrie pour se joindre aux milices kurdes qui affrontent les djihadistes de l’État islamique (EI) à Aïn al-Arab (Kobané, en kurde), rapporte, samedi 20 septembre, l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH). — (« Syrie : 300 Kurdes en renfort pour combattre l’État islamique », Le Monde.fr, 20 septembre 2014)
- Encore plus éloignés, Jerablos et Aïn al-Arab sont des postes de colonisation qui ont connu des fortunes divers : garnisons, gares du chemin de fer qui marque la frontière du côté turc, hâvres^[sic] de réfugiés arméniens dans la première moitié du siècle, elles sont au cœur des régions peuplées de Turcs, de Turcomans et de Kurdes ; leur évolution dépend de la politique d’assimilation et des préoccupations sécuritaires du gouvernement syrien. — (Marc Lavergne, « L’urbanisation contemporaine de la Syrie du Nord », Revue du monde musulman et de la Méditerranée, numéro 62, 1991, page 203)
- En outre, la somme de 6,5 millions de L.S. a été affectée, en plus des crédits du budget, pour l’exécution d’un nouveau projet important de route reliant les régions du Nord et de l’Est, d’une longueur de 50 Km.^[sic] et qui sont Aïn al-Arab, Jérablos, Membej, Al-Bab, Izzaz et Afrine. — (Office arabe de presse et de documentation, Rapport économique syrien 1980-1981, 1980, page 19)