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En effet, dans l'étude de Roudot-Thoraval et al. portant sur 2 367 patientes dont 32 % étaient immigrées, la séroprévalence s'élève à 0,99 % chez les femmes françaises et à 1,06 % chez les femmes d'origine étrangère.— (E. Barrière, F. Lunel, A. Abergel & F. Denis, « Virus de l'hépatite C », dans Les virus transmissibles de la mère à l'enfant, sous la direction de François Denis, Paris : Éditions John Libbey Eurotext, 1999, p. 107)
La séroprévalence estimée avec les tests ELISA spécifiques sur peptides de synthèse ou recombinants des protéines de membrane de CT oscille entre 15 et 20 % dans la population féminine tout-venant.— (Jeanine Henry-Suchet & Myriam Askienazy-Elbahr, « Influence des maladies sexuellement transmises sur la fonction de reproduction humaine », chap. 38 de La reproduction chez les mammifères et l'homme, ouvrage coordonné par Charles Thibault & Marie-Claire Levasseur, INRA Éditions & Éditions Ellipses, 2001, p. 867)
Ainsi, la circulation de la peste dans la plaine de Mandoto est-elle régulière, marquée de valeurs moyennes à fortes. Au contraire, les hameaux des contreforts du Vakinankaratra sont caractérisés par des séroprévalences très hétérogènes, allant de valeurs nulles à des valeurs supérieures à 30 %.— (Atlas de la peste à Madagascar, ouvrage collectif coordonné par Suzanne Chanteau, IRD Éditions, 2014, p. 70)
