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De même, en marge de la société, le clochard n'en est pas moins touché d'une certaine façon par la grâce. Peut-être d'ailleurs quittera-t-il le purgatoire terrestre pour le paradis, le jour du grand départ. C'est en tout cas ce que veut croire Bruant non sans une pointe d'ironie lorsqu'il achève son premier recueil par la mort du grelotteux : […].— (Solange Vernois, « La souffrance sociale dans les chansons d'Aristide Bruant illustrées par Steinlen », dans Histoires de la souffrance sociale : XVIIe-XXe siècles, sous la direction de Frédéric Chauvaud, Presses universitaires de Rennes, 2007, p. 57)