Discussion utilisateur:Maryline Moreau

Le grenier à blé

L’économisme privilège la méthode quantitative en masse, contrairement à la science sociale (sociologue et politiste) qui privilégie les approches qualitatives aux détails de petits échantillons raisonnés d’une dizaine d’individus, à l’aide de techniques d’entretiens et d’expressions d’acteurs.

La différence repose non seulement au niveau de la taille du raisonnement mais aussi à l’objet de la recherche de pouvoir trouver qu’est ce qui fait agir en ce sens quelqu’un spontanément qui ne l’aurait pas fait sans influence. Un économiste évaluera ses économies d’énergie sur les fonds monétaires de la dépense en rapport à un sociologue qui étudiera la distinction de la restitution de la perte monétaire.

Comment donner pour mieux recevoir ? Comment calculer ce que l’on distribue en sachant bien se faire restituer ce qu’on lui a attribué à un individu ?

Le calculateur des dons économistes ne pourra jamais se passer de la remise des fonds de bonne foi. Ils sont binômes aux questions et réponses qui se situent pour chacun de nous qui consommons tous sur des règles humanitaires. Pour répondre à sa question de savoir comment mesurer de façon précise les impacts causales budgétaires sur un certain nombre d’intérêts variables : On en explique l’observation de processus et de stratégies sur l’ensemble d’acteurs minoritaires, de façon à pouvoir repérer les obstacles au bon fonctionnement d’une action publique comme au privé, avec des moyens de leviers sur lesquels il importe d’agir pour en améliorer les effets de ses contributions. 

Les deux types d’approches recouvrent des questionnements assez complémentaires. L’une des méthodes est de prendre à contre pied l’évaluation de sa perte et l’autre recouvrera au pied dans la porte de sa restitution de bonne foi.

Comment se garantir de pouvoir récupérer un donné pour un rendu ?

Il ne s’agit plus de faire de l’économie de l’économétrie sans comparer ce qui est comparable.

Entre l’offre et la demande d’une même situation joue un rôle déterminant de pouvoir maintenir le même objectif.

‘’Je te donne à condition de me les rendre, comme tu m’avances ce que je te remettrai’’

 La durée de cette situation est le lien causal d’être de bonne foi. En dehors des délais elle se plie au contrôle du comportement pour comprendre la raison de son désistement. Afin de ne pas devoir sanctionner ou perte son énergie à des croyances utopiques aux champs d’actions douteux : 

Analyser la durée est capitale ; combien de temps va répondre l’individu à faire ce qu’on attend de lui. Si tout était si simple, tout serait de manière spontanée mais divers facteurs sont rentrés en jeu pour empêcher le comportement d’agir de la sorte.

Restituer le rôle de chacun à prendre conscience de son engagement par des moyens d’influences non préjudiciables. Il est hors de question de remplacer un mal par un mal pour comprendre ses devoirs. Il est question de répondre à des faits semblables positifs par d’autres petits engagements continus comme pour ré-abreuver son esprit d’en libérer toute bonne conduite à sa conscience.

L’objectif est de bien cuisiner des chiffres moins coûteux en apparences, pour appâter le pigeon à picorer le fruit de bon grain.

Maryline Moreau