Hippias
Français[modifier le wikicode]
Étymologie[modifier le wikicode]
- Du latin Hippias.
Prénom [modifier le wikicode]
Hippias \Prononciation ?\ masculin
- Prénom grec.
Pisistrate avait eu deux fils, Hippias et Hipparque ; d’une femme d’Argos, il en avait eu deux autres, Iophon et Hégésistratos.
— (Aristote, Constitution d’Athènes, chapitre XVIII)
Traductions[modifier le wikicode]
Anagrammes[modifier le wikicode]
→ Modifier la liste d’anagrammes
Voir aussi[modifier le wikicode]
- Hippias sur l’encyclopédie Wikipédia
Latin[modifier le wikicode]
Étymologie[modifier le wikicode]
- Du grec ancien Ἱππίας, Hippías.
Nom commun [modifier le wikicode]
Cas | Singulier |
---|---|
Nominatif | Hippias |
Vocatif | Hippiē |
Accusatif | Hippiēn |
Génitif | Hippiae |
Datif | Hippiae |
Ablatif | Hippiē |
Hippias \Prononciation ?\ masculin
- Hippias.
Sed ut intellectum est quantam vim haberet accurata et facta quodam modo oratio, tum etiam magistri dicendi multi subito exstiterunt. tum Leontinus Gorgias, Thrasymachus Calchedonius, Protagoras Abderites, Prodicus Ceius, Hippias Eleius in honore magno fuit; aliique multi temporibus eisdem docere se profitebantur adrogantibus sane verbis, quemadmodum causa inferior--ita enim loquebantur--dicendo fieri superior posset.
— (Cicéron, Brutus)- Dès que l'on eut compris tout l'effet d'un discours composé avec soin, et qui fût en quelque sorte un ouvrage régulier, alors s'élevèrent tout à coup une foule de professeurs dans l'art de parler. Gorgias le Léontin, Thrasymaque de Chalcédoine, Protagoras d'Abdère, Prodicus de Céos, Hippias d'Élis, acquirent une grande réputation. Beaucoup d'autres, à la même époque, se vantaient, avec une présomptueuse arrogance, d'enseigner comment la cause la plus faible (c'est ainsi qu'ils s'exprimaient) pouvait, à l'aide de la parole, devenir la plus forte.
Références[modifier le wikicode]
- « Hippias », dans Félix Gaffiot, Dictionnaire latin français, Hachette, 1934 → consulter cet ouvrage
- « Hippias », dans Charlton T. Lewis et Charles Short, A Latin Dictionary, Clarendon Press, Oxford, 1879 → consulter cet ouvrage