Les masques cérémoniels yupiks sont célèbres mais rares car ils étaient souvent brûlés après les cérémonies.
J’allais hier encore écouter des Inuits sous leurs tentes, des percussions yupik et des tambours mohawk, les gens du festival, autant qu’ils le peuvent, veulent assimiler à la francophonie les minorités que le Canada a pu jadis coloniser.— (David McNeil, 28 boulevard des Capucines, Gallimard, 2012, collection Folio, page 12)