« névropathe » : différence entre les versions

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(Siècle à préciser) Du grec ancien, composé de νεῦρον, neûron (« nerf ») et de πάθος, pathos.

névropathe \ne.vʁɔ.pat\ masculin et féminin identiques

(Vieilli) Névrotique.
- Depuis lors elle eut toute une série de phobies, de toutes sortes, qui se dissipèrent au bout de plusieurs années seulement, en la laissant encore très névropathe et impressionnable. — (Paul Sollier, Les phénomènes d'autoscopie: L'hallucination de soi-même, 2006)
- Il se mettait à sangloter. Il ne voulait même pas savoir pourquoi, s’essuyait les yeux, se disait en riant: « C’est charmant, je deviens névropathe ». — (Marcel Proust^{Le modèle}nom w pc est désuet. Supprimez-le de cette ligne, ou remplacez-le par le modèle w si un lien vers Wikipédia est nécessaire., À la recherche du temps perdu, Du côté de chez Swann, 1913, Éditions Gallimard, Folio n°1924, 1987, page 311)

Singulier	Pluriel
névropathe	névropathes
\ne.vʁɔ.pat\

névropathe \ne.vʁɔ.pat\ masculin et féminin identiques

Modèle:médecine Névrosé.
- Un, une névropathe.
- Il est clair par exemple qu'il est difficile de faire suivre un régime alimentaire à un névropathe à la table de famille et que cela est plus facile quand il vit séparément. — (Pierre Janet, Les médications psychologiques: Les économies psychologiques, 2007)

Tout ou partie de cet article a été extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (névropathe), mais l’article a pu être modifié depuis.

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 # {{vieilli|fr}} [[névrotique#fr|Névrotique]].
 #* ''Depuis lors elle eut toute une série de phobies, de toutes sortes, qui se dissipèrent au bout de plusieurs années seulement, en la laissant encore très '''névropathe''' et impressionnable.'' {{source|Paul Sollier, ''Les phénomènes d'autoscopie: L'hallucination de soi-même'', 2006}}
-#* ''Il se mettait à sangloter. Il ne voulait même pas savoir pourquoi, s’essuyait les yeux, se disait en riant: « C’est charmant, je deviens névropathe ». {{source|{{nom w pc|Marcel|Proust}}, ''{{w|À la recherche du temps perdu}}'', ''{{w|Du côté de chez Swann}}'', 1913, {{w|Éditions Gallimard}}, Folio n°1924, 1987, page 311}}
+#* ''Il se mettait à sangloter. Il ne voulait même pas savoir pourquoi, s’essuyait les yeux, se disait en riant: « C’est charmant, je deviens '''névropathe''' ». {{source|{{nom w pc|Marcel|Proust}}, ''{{w|À la recherche du temps perdu}}'', ''{{w|Du côté de chez Swann}}'', 1913, {{w|Éditions Gallimard}}, Folio n°1924, 1987, page 311}}
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