Le bouzouk, le luth, le qanoun, la dardouka et le violoncelle dont se sert un orchestre cosmopolite (deux Kurdes, un Marocain, un Syrien, un Egyptien, un Français) ajoutent à l’ambiance féerique du désert.— (Jeune Afrique - Numéros 1044 à 1055, 1981)