Elle le ouatait, l’embéguinait, le médécinait ; elle l’empâtait de mets choisis comme un bichon de marquise, elle lui ordonnait ou lui défendait tel ou tel aliment ; elle lui brodait des gilets, des bouts de cravates et des mouchoirs ; elle avait fini par l’habituer à porter de si jolies choses qu’elle le métamorphosait en une sorte d’idole japonaise.— (Honoré de Balzac, Illusions perdues, 1837)