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Ces caboches ne sont pas perdues, mais utilisées pour la fabrication du tabac à priser. On fait un premier mouillage des feuilles, destiné à les assouplir. Puis on examine chaque feuille une à une, c'est ce qu'on appelle l’époulardage. — (Aimé Riant, L'alcool et le tabac, Paris : Librairie Hachette, 1879, p. 143)
On les a surnommées les Dames aux chapeaux verts… Elles sont aussi grotesques que surannées… Je ne les ai guère vues qu’aux cérémonies de la famille : les enterrements et les mariages… Mais je suis persuadée qu’elles sentent le tabac à priser et la naphtaline !…— (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, collection Le Livre de Poche, page 14.)