Discussion:druidesse

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Pourrait-on arrêter les délires des Celtomanes du 19 siècle?[modifier le wikicode]

PAS DE DRUIDES = PAS DE DRUIDESSES CHEZ NOUS. JAMAIS CHEZ LES KYMRIQUES CORNIQUES, en tout cas. Les autres font se qu'ils veulent! Mais cela représente pas mal de régions en France, en Espagne, Pays Basques, en Italie,... Bref en EUROPE.

Druid est uniquement un mot du vocabulaire Irlandais qui n'existe pas dans les langues Keltiques du Nord de la France. Il n'y a jamais eu de Druides en LLYDAW (L'Armorique-Bretagne des latinistes). ET jusqu'à preuve du contraire les 1er livres de ces druides ne sont datés que du 19ème siècle. Un peu tard à mon goût pour les placer en tête de file des sociétés Keltiques de France.

Petit rappel, l'Histoire des Keltes n'a jamais été écrite par les sociétés esclavagistes et phallocrates des Grecs et des Romains, tous deux très spécialisés dans la mystification, mais par les Bardes et Bardesses à partir du 3ème siècle après J.-C. Les seuls compétents et instruits pour le faire d'une manière beaucoup plus équitable et vraie (et avec les vrais mots et noms en langue Keltique d'origine, s'il vous plaît!)

Au 5ème siècle, de nombreux Bardes et Bardesses parlaient et écrivaient parfaitement le latin (après plusieurs siècles d'occupation romaine, ce n'est tout de même pas difficile à comprendre). L'ennemi de Adorne (L'augustin), le célèbre PELAGE est un ANKAR de LLYDAW (je traduis: anachorète d'Armorique), de nombreuses Femmes s'illustrent aussi brillamment dans des échanges épistolaires et leur étude des bibles, nouveau testament et autres textes consacrés par Rome et sa religion. Ces gens là, hommes et femmes lettré(e)s, très cultivé(e)s sont des BARDES et des BARDESSES, et s'occupent de théologie (science de la tradition) autant que de philosophie. Des LAÏCS KELTES pas religieux.

A ce propos; l'assassinat de Pélage est digne de Rome; battu au fouet et au bâton, puis écorché aux griffes de fer et plongé dans de l'huile bouillante. Juste pour faire remarquer la grande bonté d'une église qui prêche la sainte parole et qui clos celle d'hommes et de femmes autrement plus évolués qu'eux.

Le latiniste et l'historien voit du religieux partout comme Blanche-neige voit des nains partout. Hors c'est archi-faux! Le Kelte n'est ni le romain, ni le grec. C'est évident, mais il faut le répéter à tous les mystificateurs écrivaillons qui ne connaissent rien. Je suis KELTE, donc je ne pense pas comme un latiniste, même si je parle le latin, le grec, le javanais et le chinois, et je monte aussi très bien à Cheval.

DRUID, mot Gaëlique, étymologiquement signifie "Close" en Anglais (Fermé, proche, renfermé, peu communicatif, pingre, avare) que l'on peut rapprocher d'un Cabaliste ou Kabbaliste, cultivant l'hermétisme, le savoir de l'occulte (astrologue, exorciste, grand prêtre, conjurateur, mage, sorcier), celui qui entretient l'obscur, l'impénétrable, le nébuleux, le ténébreux, l'ésotérique, le mystérieux, l'abscons, le caché, l'incompréhensible, le secret ou le magique; DRUIT = Ferme, clos, solide, en qui on peut avoir confiance; comme une porte, DRWS, (Etymological Dictionary Gaelic Language, d'Alexander MACBAIN). DRUID est aussi un étourneau, un sansonnet, et DRUIDH est un magicien; un HUDOL en Cornique.

Voilà déjà 2 types d'individu distinct chez les Milésiens d'Irlande; les DRUID, qui connaissent l'AIR, mais pas la CHANSON et les DRUIDH, des apprentis magiciens. Mais ils restent chez eux sur leur île en Irlande.

Pourquoi travaillaient-ils le mystère?

Réponse : parce qu'ils ne savaient rien, et devaient obéir à leurs Chevaliers, Seigneurs de guerre, chargés de confiner le peuple (des esclaves) dans la superstition, l'ignorance et l'analphabétisme. La société irlandaise n'a strictement rien à voir avec les sociétés bardiques de VRINK (France) PRYDAIN ET LOEGR (Angleterre), et LLYDAW (Armorique-Bretagne). Sans bien connaître l'histoire de l'Irlande, parce qu'elle ne m'intéresse pas, il semble que cette île ne sorte de sa turpitude très sombre qu'avec l'arrivée de leur ST-Patrick, donc bien après l'an 500.

Tous les monuments néolithiques que l'on peut admirer chez eux est le travail des CRUITHNIS - Les HOMMES DU CRU - (faussement appelés Pictes par ces crétins de latinistes). Dont je dénonce ouvertement tous les crimes sur plus de 16 siècles.

Du fait d'être sur une île peu accessible, il est indéniable que les documents écrits après le 5ème siècle ont été mieux conservés et sans doute en plus grand nombre, mais l'histoire de l'Irlande n'est pas l'histoire des Keltes de FRANCE; et CYMRU (Wales) est suffisamment bien pourvus en excellents documents, bien plus authentiques et proches de notre culture Keltique, tout au moins en ce qui concerne tout le Nord de la France jusqu'en Belgique (KERNOU).

Je vous prie de bien vouloir transmettre ce qui vient d'être dit, et cessez de répandre une désinformation toxique lamentable, copiée de livres de très mauvais auteurs comme les Michelets et autres Pelloutier, Guyonvarc'h, etc... La liste est trop longue pour les citer tous. Merci!

Apprenez l'histoire des KELTES dans l'étude des anciennes langues Keltiques où le C se dit toujours K comme dans KELTE et non SELTE.

Intervenant : HOMINN Lebirec, le 12 octobre 2008.

Merci pour ces informations. Nous voulons bien corriger les articles sur les mots du français druidesse, druide... Je pense comprendre que vous contestez la phrase « (1213) Du latin druida, du gaulois, lui-même du celtique dru-wid-es, « très savants ». » Les étymologies de druide et de druidesse viennent du TLFi. Je le cite : « 1727 druidesse (DOM MARTIN, Relig. des Gaulois, I, p. 91 ds DG). I empr. au lat. class. druida d'orig. gaul. (cf. irl. drui « sorcier » IEW, p. 215) rapproché d'apr. un passage de Pline (24, 103 ds TLL s.v., 2070, 67) du gr. « chêne » en raison des pratiques religieuses de ces prêtres (BL.-W.5); v. aussi DOTTIN, p. 252 et 253 et DOTTIN Manuel, p. 363 ou de *druvids « très savant » composé d'un préf. intensif dru (v. DOTTIN, p. 252) et de l'irl. sui de *suvids « sage » (Thurneysen d'apr. DOTTIN Manuel, p. 363 et HOLDER). »
Je ne suis pas qualifié pour contester un tel ouvrage, au mieux je peux citer d'autres hypothèses. Si vous vous sentez de taille à apporter une autre étymologie, ou à contester celle en place, alors ne vous en privez pas, et n'en privez pas les générations présentes et futures. Pour citer hominn.fr « Le vrai but étant d'accéder au savoir. » Les seules règles à respecter ici sont : 1/ ne pas supprimer les autres hypothèses (l'étymologie n'étant pas une science exacte) et 2/ citer ses références. Merci à vous. Stéphane8888 discuter 12 octobre 2008 à 22:34 (UTC)[répondre]
« Il n'y a pas de cabale »... --Szyx 12 octobre 2008 à 23:44 (UTC)[répondre]