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En ce qui me concerne, Camping continua longtemps à être pourvoyeur d'interpellations musclées de la part du public. Dans le film, ma femme, qui ne se remettait pas de ma trahison, me résumait élégamment par : « Mon mari est un pineur ! ». À Verdun, quinze ans plus tard et toujours en compagnie de mon fils, je visitais le poignant musée consacré à la Grande Guerre quand un homme accompagné de ses parents me reconnut. « Oh le pineur ! », hurla-t-il tant et plus en me désignant du doigt.— (Antoine Duléry, Imitacteur, Éditions du Cherche-Midi, 2020)
— L’est pas là, ton pote ? — Il est parti gambader je ne sais où, avec une femme. [...] — C’est un gros pineur, hein, ton griveton ?— (Pierre Siniac, Les mal lunés, Éditions Rivages, 1995)