L’eau frangeait les ramures, alourdissait les fils d’araignée, imbibait les écorces gluantes, et des feuilles tombaient, çà et là, en tournant, dans le tranquille égouttement, dans le grand calme profond.— (Alphonse de Châteaubriant, Monsieur des Lourdines, chapitre 2, 1910)