chondrille
Français[modifier le wikicode]
Étymologie[modifier le wikicode]
- (Siècle à préciser) Du latin chondrille.
Nom commun [modifier le wikicode]
Singulier | Pluriel |
---|---|
chondrille | chondrilles |
\kɔ̃.dʁij\ |
chondrille \kɔ̃.dʁij\ féminin
- (Botanique) Genre de plantes composées, de la tribu des Chicoracées.
- Il réunit dans un même groupe la chicorée, la laitue, la chondrille et l’épervière (hieracium). — (Jean-Chrétien-Ferdinand Hœfer, Histoire de la botanique, de la minéralogie et de la géologie : depuis les temps les plus reculés jusqu’à nos jours, 1972)
Vocabulaire apparenté par le sens[modifier le wikicode]
Traductions[modifier le wikicode]
- Conventions internationales : Chondrilla (wikispecies)
- Arabe : خَنْدَوِيل (ar) khandawil
Voir aussi[modifier le wikicode]
- Chondrilla sur Wikispecies
Références[modifier le wikicode]
- « chondrille », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage
Latin[modifier le wikicode]
Étymologie[modifier le wikicode]
- Du grec ancien χονδρίλλη, khondríllê.
Nom commun [modifier le wikicode]
Cas | Singulier | Pluriel |
---|---|---|
Nominatif | chondrille | chondrillae |
Vocatif | chondrille | chondrillae |
Accusatif | chondrillen | chondrillas |
Génitif | chondrilles | chondrillarum |
Datif | chondrillae | chondrillis |
Ablatif | chondrille | chondrillis |
chondrille \Prononciation ?\ féminin
- (Botanique) Chicorée.
- arachidne quidem et aracos, cum habeant radices ramosas ac multiplices, nec folium nec herbam ullam aut quicquam aliud supra terram habent. reliqua volgarium in cibis apud eos herbarum nomina: chondrylla, hypochoeris, caucalis, anthryscum, scandix, come, quae ab aliis tragopogon vocatur, foliis croco simillimis, parthenium, trychnum, corchorus et ab aequinoctio nascentes aphace, achynops. epipetron vocant quae numquam floret. at e contrario aphace subinde marcescente flore emittit alium tota hieme totoque vere usque in aestatem. — (Pline, Naturalis Historia)
- On mange encore l'arachis (lathyrus amphicarpos, L.) et l'aracos (Lathyrus tuberosus, L. ), qui ont des racines rameuses et multiples ; du reste point de feuilles, point de partie herbacée, rien qui soit hors du sol. Les autres plantes mangées communément en Égypte sont la condrilla (condrilla juncea, L.), l'hypochoeris (Hyoseris lucida, L.), le caucalis (pimpinella saxifraga, L.), l'anthriscus , le sandix, appelé par d'autres tragopogon, à feuille de safran, le parthenium, le strychnum, le corchorus (anagallis arvensis, L), l'aphace (leotondon taraxacum, L.), qui vient à l'équinoxe, l'acinos (thymus acinos, L ), l'épipétron (sedum rupestre, L.), qui ne fleurit jamais, tandis que l'aphace, remplaçant à mesure les fleurs qui se fanent, fleurit tout l'hiver, tout le printemps, et jusqu'en été. — (traduction)
- arachidne quidem et aracos, cum habeant radices ramosas ac multiplices, nec folium nec herbam ullam aut quicquam aliud supra terram habent. reliqua volgarium in cibis apud eos herbarum nomina: chondrylla, hypochoeris, caucalis, anthryscum, scandix, come, quae ab aliis tragopogon vocatur, foliis croco simillimis, parthenium, trychnum, corchorus et ab aequinoctio nascentes aphace, achynops. epipetron vocant quae numquam floret. at e contrario aphace subinde marcescente flore emittit alium tota hieme totoque vere usque in aestatem. — (Pline, Naturalis Historia)
Variantes[modifier le wikicode]
Apparentés étymologiques[modifier le wikicode]
Références[modifier le wikicode]
- « chondrille », dans Félix Gaffiot, Dictionnaire latin français, Hachette, 1934 → consulter cet ouvrage