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Or, comme le fait très-bien observer le mémoriographe Anibert, cette cession n’étant qu’une espèce de bail à loyer, le fermier y trouvait probablement quelque bénéfice.— (Amédée Pichot, Le dernier roi d’Arles: épisode des grandes chroniques arlésiennes comprenant Les Légendes du Lion, du Cheval et de la Tarasque etc. etc., précédé d’un essai historique sur la ville d’Arles depuis son origine jusqu’à ce jour, 1848)
