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On les a surnommées les Dames aux chapeaux verts… Elles sont aussi grotesques que surannées… Je ne les ai guère vues qu’aux cérémonies de la famille : les enterrements et les mariages… Mais je suis persuadée qu’elles sentent le tabac à priser et la naphtaline !…— (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, collection Le Livre de Poche, page 14.)