tokharien B
Français[modifier le wikicode]
Étymologie[modifier le wikicode]
Locution nominale [modifier le wikicode]
tokharien B \tɔ.ka.ʁjɛ̃ be\ masculin au singulier uniquement
- Langue morte, de la famille des langues indo-européennes qui fut parlée jusqu’à la fin du Ier millénaire après J.-C. dans la région de Koutcha, dans le bassin du Tarim — actuelle province du Xinjiang, à l’ouest de la Chine.
- Creusée à même dans la roche, elle abritait en 1900 plus de quarante mille rouleaux de documents relatifs à diverses religions (bouddhisme, manichéisme, zoroastrisme, christianisme nestorien et même judaïsme), en diverses langues (chinois et tibétain surtout, mais aussi sanskrit, ouïgour, sogdien, khotanais et tokharien B), datés de 405 à 1002. — (Jean Sellier, Histoire des langues et des peuples qui les parlent, La Découverte, 2019, page 185)
Notes[modifier le wikicode]
- Le code de cette langue (tokharien B) dans le Wiktionnaire est txb.
Synonymes[modifier le wikicode]
Traductions[modifier le wikicode]
Prononciation[modifier le wikicode]
- France (Lyon) : écouter « tokharien B [Prononciation ?] »
Voir aussi[modifier le wikicode]
- tokharien B sur l’encyclopédie Wikipédia
- 9 entrées en tokharien B dans le Wiktionnaire