Discussion:orpaillable

Autres attestations

Ce mot étant extrêmement rare, il est précieux d'en lister et d'en préserver les attestations trouvées :

1. • Les millions d’euros du BRGM transformés en cartographie détaillée des emplacements orpaillables. — (blada.net, 2007)
   • […] zônes "orpaillables" n'ont pas l'air trés nombreuses. — (pujol.chez-alice.fr)
   • Ces deux options conduiront toutes deux à une extension des surfaces orpaillables, au détriment de la protection de la forêt et de la nature — (L’orpaillage dans le futur parc national, 2004, guyane.lesverts.fr)

Écrit et oral

« Ce mot étant extrêmement rare » (ci-dessus). Tout est relatif. Ce mot existe bel et bien à l'écrit mais encore rarement. Compte tenu de son sens, il est plus que vraisemblable qu'il est plus couramment employé verbalement en Guyane française. Un Guyanais pourrait sans doute éclairer à ce sujet. --✍ Béotien lambda ☏ 17 décembre 2010 à 10:43 (UTC)

Je suis d'accord. Nos petites déductions sont relatives au corpus qui nous est accessible. Ce corpus, avec les moteurs de recherche d'Internet, est grosso-modo le même pour beaucoup d'entre nous. Il y a une bonne part de subjectivité entre (Rare), (Très rare) et (Extrêmement rare), d'autant qu'il est souvent difficile de savoir s'il faut considérer le mot pour l'ensemble des locuteurs, ou seulement dans un jargon particulier. Selon que ce jargon est, ou non, indiqué dans l'article. Etc.

Malgré ces nuances, une telle indication est précieuse pour les lecteurs. Personnellement, en dessous de 100 attestations environ j'indique (Très rare), en dessous de 10 (Extrêmement rare). Stephane8888 ✍ 17 décembre 2010 à 13:00 (UTC)