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Enfin, l'argument le plus fort que nous ayons à présenter est celui des figures 1a et 1b. Il s'agit de photographies de deux coupes minces qui ont été préparées à partir d'une même feuille de placage de [m]erisier comportant des veines vertes bien développées. Une des coupes (figure 1a) a été réalisée en dehors de la veine verte, l'autre (figure 1b) dans la veine verte. Toutes deux ont subi une double coloration qui fait apparaître sur les photos les parois normales (lignifiées) en gris et la couche cellulosique G en noir. On voit que dans le premier cas aucune fibre n'a de couche gélatineuse, tandis que la veine verte est de pur bois de tension.— (J.-Ch. Ferrand, La veine verte du merisier — Est-ce du bois de tension ?inRevue forestière française, n°XXXV, 2/1983 → lire en ligne)
