C’est à lui, collègue et adversaire de Mouzaffer-Khan, avec lequel il était constamment en contestation, que Blochmann attribue la création de l’ourdou, c.-a-d. de la langue hindoustani. En effet, jusque là, tous les comptes de finances se faisaient en langue et chiffres hindis et pardes commis Indiens ; ce fut Todar Mal qui prescrivit l’usage de la langue et des chiffres persans dans toutes les pièces officielles.— (Comte F. A. de Noer, L’emperur Akbar, traduit par G. Bonet Maury, 1883, p. 292)